Quelle part d’un élément du temps dans le handicap?
Même ces quelques fans de football qui ne jouent pas sont sûrement conscients de la remarquable séquence de victoires de Brett Favre dans le temps de moins de 34 degrés ou de l’ineptie de Tampa lorsque la température du coup d’envoi est inférieure à 40 sur l’échelle archaïque Fahrenheit. Ce n’est pas seulement juste mais impératif pour les handicapés de noter que la plupart de ces jeux Favre étaient à l’aise où il a rarement été battu et l’incompétence de Tampa a été compilée lorsqu’ils étaient un paillasson jouant sur la route.
En ce qui concerne la météo bénéficiant à une équipe ou à l’autre, plus de fois que l’ancien adage des deux équipes devant jouer dans les mêmes conditions est vrai. Cela ne veut pas dire que la météo ne décidera pas de la propagation ou du résultat SU. De nombreuses équipes sont construites pour leur terrain et leur temps extrême dans une bataille de styles dichotomiques ne seront sans aucun doute un facteur.
Venir en séries éliminatoires et même tard dans la saison régulière, nous entendrons les experts et les handicapés remettre en question la capacité des équipes du dôme à gagner ou même à se rendre au Super Bowl. Atlanta, qui le faisait en 1999 et les Rams qui gagnent en 2000 en 2000 ont pris de la vapeur de ceux convaincus d’un désavantage sur le terrain en dôme, mais les deux équipes ont pu éviter de devoir jouer dans des conditions de plein air désagréables.
Il manque un facteur majeur dans les critiques susmentionnés. Nous conviendrions en fait que les équipes du Dome clairement conçues pour le jeu en dôme sont désavantagées dans les conditions de plein air désagréables. Nous ne sommes certainement pas en désaccord que la défense horrible des Colts doit être améliorée et personne ne peut remettre en question le génie de Bill Belichick. Mais l’offensive des Colts est beaucoup plus puissante qu’elles ne sont excellentes et nous remettons en question la capacité des Colts à battre n’importe quelle équipe par temps hivernal du nord. Il en va de même pour le Minnesota à l’ère Randy Moss.
L’exception à la règle «Les deux équipes jouent dans les mêmes conditions» seraient des infractions à forte puissance.
Le secondeur des Eagles de Philadelphie, Ike Reese, a déclaré. “Les jeux de temps bâclé sont fabriqués sur mesure pour les équipes de course. Quand vous devez mettre le ballon en place, vous allez devoir vous soucier des passes bâclées, les balles se sont châties.”
Les célèbres Dolphins du début des années 70 qui sont allés au Super Bowl trois années consécutives, en remportant deux, y compris la saison parfaite, est un exemple parfait d’une équipe qui pourrait gagner dans toutes les conditions. En fait, des conditions de non-miami aiment parfaitement dans leur style de contrôle de la boule buccale Smash.
Les équipes sur mesure pour leur climat ou leur stade seront bien sûr les plus effectuées par des conditions qui s’écarteront de leur zone de confort. Mais le style d’une équipe routière est plus quantifier que sa ville d’origine ou s’il y a ou non un toit sur leur stade dans la mesure où les conditions météorologiques handicapées.
La plus grande erreur que les handicapés font est de penser que les avantages météorologiques potentiels bénéficient principalement aux équipes climatiques chaudes jouant dans les villes du Nord. Dan Marino ne serait pas moins d’autorité sur le sujet. Il a joué son lycée et son ballon universitaire à Pittsburgh et a passé une carrière au Temple de la renommée à Miami, mais avec de nombreux matchs sur route à New York, Foxborough, Buffalo et de nombreuses autres villes par temps froid.
Marino déclare catégoriquement, c’est plus difficile pour une équipe par temps froid de jouer dans une ville météorologique chaude que Visa versa. Demandez à n’importe quelle greffe de Citizen New York accrochée au Tchad dans le sud de la Floride et ils vous diront qu’il y a une période d’acclimatation s’adaptant au temps beaucoup plus chaud. Mais finalement, on s’y habitue.
Les fans de football international noteront comment, par exemple, l’équipe des États-Unis de football admet que les conditions brutales du Guatemala et des pays d’Amérique centrale sont un énorme inconvénient pour les Yankees et l’adaptation est difficile.
En fait, il est plus facile pour les joueurs de football américains fortement rembourrés de compenser les conditions froides que pour la chaleur fulgurante de la Floride, du Texas ou de l’Arizona. Pourtant, le handicapeur semble se préoccuper davantage de la toundra gelée de décembre. Ce n’est pas le cas au centre de l’univers de handicap.
